Linguistique 3 ■■■□□
Cela fait partie de son métier en tant que chercheur, il tente de comprendre les anciennes langues, mais aussi de mieux comprendre les actuelles qui pourrait être un passage entre les deux. Il a passé une majorité de sa vie à étudier les anciens textes.


Anthropologie 3 ■■■□□
Afin de mieux comprendre la linguistique dans son passé ou dans sa version actuel, il était important de se renseigner sur l'aspect physique et culturel de l'humanité. Le but étant de faire le lien avec le mode de vie et les écrits. Il c'est donc beaucoup renseigné ce qui a permis de créer des liens entre les deux.

Botanique 2 ■■□□□
Spécialité de son précepteur, celui-ci aurait bien aimé qu'il partage sa passion, mais Melchior à prit un tout autre chemin. Il connaît donc de bonne bases en botanique suite au cours d'Adam, mais n'a pas été plus loin.

Non verbale 2 ■■□□□
Même si Melchior n'est pas le plus douer des hommes quand il s'agit de communiquer avec les autres. Il arrive à force d'entraînement et d'analyse à comprendre les trames qui se joue dans les mouvements lors d'une communication (pour le moment il connaît principalement ceux des worans)

Diplomatie 2 ■■□□□
Melchior est contre la violence et va donc préféré discuter avec la personne. Il la surtout utilisé au-près des autres Worans et des collègues linguiste ( qu'il voit peu).

Lire sur les lèvres 2 ■■□□□
Parmi les activités "récréatif" du jeune garçon, lire sur les lèvres était un peu plus distrayant que d'écouter réellement les conversations de sa mère et de ses amies. Une activité qui était souvent liée à sa concentration accrus, qui lui donnait mal à la tête dans un premier temps.

Musique 2 ■■□□□
Parmi ses cours obligatoire Melchior a dû s’entraîner au piano quand il était plus jeune. Il en n'est resté qu'au base, se tournant vers la linguistique dès qu'il en eu l'occasion. Ne jouant qu'en de rare occasion pour faire plaisir à feu sa mère.

- Tenue Ordinaire
- 2 coupons de 30%
- un carnet avec un crayon
- une bague ancienne sous forme de renard avec des inscriptions qu'il porte autour du cou
- Journal de Pénélope Yzod. Daté de l’an 2908. Langue inconnue. Page arrachées.

Il n’est pas rare de voir Melchior se parler seul, il a prit cette habitude à force de faire des recherches seul, mais aussi dans le but d’occuper son esprit afin de ne pas plonger dans le « néant » comme il appel cela. Ce « néant » est en réalité l’état de sur concentration dans lequel il se plonge. Il perd alors tout contacte avec ce qui l’entoure. Bien qu’il s’agit d’un atout lors de ses recherches, en effet cet état va lui permettre de résoudre certaine difficulté, cela se transforme rapidement en passion et cette passion se nourrit d’elle même. Cependant dans cet état, Melchior perd totalement la notion du temps, des distance et même des présences autour de lui. Pire encore il perd même la conscience de lui même et passe ses besoins vitaux au second plan.

Au delà de ce trouble, il s’agit d’une personne assez agréable pour peu que vous ayez assez de culture (dans le sens larges), dans le cas contraire vous ennuierez fortement . C’est un homme curieux et fasciné par l’ancien temps, qu’il aimerait vraiment comprendre et savoir comment ils ont pu déchanté . Depuis maintenant un ans, il se re socialiser après plusieurs année à passé loin des autres. Il a apprit à donné le change, mais la plupart des personnes l’ennui cruellement. Mise à par son percepteur, aucune autre personne n’a réussi à l’intéresser.

Les écrits sont particulièrement important pour lui, en effet il pense sincèrement que si les populations précédente avait fait plus attention à ce qui c’était produit avant ils auraient pu possiblement évité des drame. C’est pourquoi il tient à mettre à l’écrit toute les connaissances connu à l’écrit. (science, médecine, langage, coutume, etc …) pour que les générations suivante puissent avoir une traces et ne se retrouve pas comme eux perdu avec des objets qui ne porte encore aucun sens.  

Melchior est un homme d’un mètre quatre-vingt-treize, il est aussi le portrait de sa mère, il a ses cheveux roux assez long pour lui arriver un peu plus bas que le milieux de la nuque, le teint pâle de celle-ci laissant apparaître des points de rousseurs sous ses yeux sur son nez, mais également sur ses épaules et son dos. Le changement par rapport à elle sont certainement ses yeux qui sont d’un bleu profond souligné par des cernes, elle détestait ses cernes, mais également sa barbe bien entretenue qu’il ne veut pas rasé, puisque cela le ramènerais à l’état de jeune garçonnet, ce qu’il refuse totalement. Melchior est assez maigrelet, mais reprend un peu de poids au fur et à mesure des mois. Il n’est clairement pas taillé pour le combat et en toute franchise, il ne voit pas vraiment l’intérêt de cette violence.

« Qu’il est bon d’avoir un enfant aussi calme madame Valencine, le mien ne tient pas en place. »

C’était souvent ainsi que Madame Welson commençais sa phrase quand elle voulait demander quelque chose. Un service pour la plupart du temps. Melchior ne savait pas vraiment ce que c’était quand il était plus jeune, mais il s'agissait de prêter de l'argent à d'autre famille. La famille Percheval récupérait des biens ou des informations sur les personnes à qui il prêtait de l'argent, afin d'être sûr remboursé avec les intérêts. C'était ce que faisait son père, son grand père également, mais cela avait commencer avec Oswald, l’arrière grand père. Il était préteur, mais avait eu le délicat surnom de "dirtyhand" du au faite qu'il pouvait faire trancher la main de ceux qui ne payait pas. A la disparition de son père Arthur, c'est Valencine, sa mère qui avait reprit le travail, sans en toucher un mot à son fils.

  Il voyait donc Madame Welson, l’entendait parler, mais ne prêtais pas attention à elle et le jeune garçon restait assis dans une causeuse lisait ses livres comme à chaque fois que sa mère recevait. Son regard ne se levait pas, ou seulement quand sa mère l'interpelle, pour saluer ou bien jouer le petit singe savant. Visiblement le paraître était important dans ce monde du moins Valencine lui disait cela. Le problème c’est que plus Melchior grandissait plus son « petit don » comme disait sa mère, devenait présent. En effet, si cela permettait à Valencine d’être au calme un moment, cela avait aussi pour effet d'isoler un peu plus son petit, qui en oubliait de manger, si Adam ne venait pas le voir. Il était son précepteur, lui enseignait de nombreuses choses, bien que sa spécialité soit la botanique. Adam est un homme doux, au boucle brune tombant en cascade quand celui-ci laissait ses cheveux détachés, le visage mate, incrusté de bille aussi sombre que la nuit, portant également un bouc tressé avec quelques perles décorative. Il était de treize ans l’aîné de Melchior, mais cela ne semblait pas le déranger.

Son précepteur était peut être celui qui voyait le plus Melchior il fut un temps, quand celui-ci se logeait dans le bureau de feu son père pour travailler ses connaissances. Plonger dans ses recherches il perdait facilement la notion du temps, du froid et de la faim, ce qui effrayait de plus en plus sa mère qui avait peur de perdre son fils, « la seule chose qui lui restait », mais elle avait interdiction d’entrer dans ce bureau, c’était la seule pièce où Melchior avait le droit de s’isole. Sans entendre les chant des bécasses, grinçante et stridente que sa mère faisaient venir, sans voir les quelques hommes qui pouvaient venir et ne jamais réapparaître sur le pas de la porte, sans toucher les mains moites de ses êtres pourrie jusqu’à l’os, sans avoir l’odeur de l’alcool lorsque sa mère parlait et encore moins le goût atroce du fer dans sa bouche lorsqu’il mordait sa joue à rester « éveillé » et pas en hyper concentration. Ici dans cette pièce, il était plus libre que nulle part ailleurs, tout ici était proche d’un rêve. Le toucher des pages entre ses doigts, la vue des caractères flottant emplie de mystère qui n’attendait que lui, le goût du thé aux arômes si dansant, le chant délicat du parquet sous ses pas et enfin le parfum doux et enivrant de la peau de son percepteur lorsqu’il se penchait au dessus de son épaule ; une élégante huile de rose et d’une autre plante tenue secrète par son mentor, mais qui avait la particularité de perturbé Melchior dans ses travaux, comme un rappel à l’ordre de sa présence.

Adam avait beau vouloir le diriger vers l’art botanique, le jeune homme voulait lui prendre une toute autre direction. Il était fasciné par l’ancien monde et le seul moyen d’avancer était pour lui de voir ce qui avait été fait avant et les traces qui pouvait offrir cette lumière n’était autre que les anciens écrit. Plus Melchior se plongeait dans cette merveille, plus le brun se sentait démunie et délaisser. Il avait de moins en moins de temps à lui consacré, passant le plus claire de son temps à décoder des parchemins ou ancien livre. Peu à peu, le précepteur perdait cette complicité. Un soir, alors qu’il apportait comme à son habitude, un thé à son élèves, il attendit de posé la soucoupe sur le bureau pour dégager doucement la tempe du jeune homme et de poser doucement ses lèvres contre celle-ci. Ce qui eu l’effet voulu et tira le roux de son livre, les yeux remplit de surprise.

« Melchior, un jour ses livres causeront ta perte. Regarde toi, tu ne sors que pour aller chercher de quoi travailler et sitôt revenu tu t’enferme ici. Tu ne vas même pas sur la tombe de ta mère. »

A ses mots, le jeune homme fut pris d’un violent coup sur la tête, sa mère était morte. Il avait oublié cela, elle était morte dans son sommeil. Tout lui revenait lentement par brides, les médecins, les « amies » de sa mère en pleurs, les « courages », les « tiens bon petit » et le bruit de la porte d'entrée qui frappait pratiquement tout les jours. 1 mois cela faisait un mois qu’elle était partit et lui n’avait pas fait face à la réalité. Son regard perdu se posa sur Adam en une question silencieuse, que seul son précepteur pouvait comprendre. c’est ainsi qu’une longue et pénible réhabilitation à la société, avait été prescrit par Adam pour rendre « vivant » son jeune apprentis, qui se donnait beaucoup de mal pour ne plus tomber dans cette malédiction, qui le coupait de tout. Cela passait par des discussions dans la rue, des réceptions chez lui, mais également des rencontres en face à face qui semblait être le plus difficile pour Melchior, qui semblait affliger par le peu de cervelle qui entourait sa mère.

Après ses durs journées Adam se posait de l’autre côté de la causeuse pour discuter avec le roux qui semblait bien plus épuisé par ses contacts verbales que par la lecture. C’était devenu un rituel pour les deux êtres, se poser et écouter le silence, mais cette fois, la paix du précepteur fut perturbé par une sensation étrange, lorsqu’il ouvrit les yeux, il vit son élève pencher au dessus de lui, ses lèvres contre les siennes. Quand Melchior se redressa, il regarda longuement son professeur puis parla comme-si rien ne c’était passé.

« Merci pour cette réponse, sur ceux je vais me reposer demain est une longue journée et je ne me sens déjà pas le courage de l'affronter. Je vous souhaite la bonne nuit. »

Pour une fois, son apprentis l’avait laissé sans voix et de plus il n’avait pas compris son geste et de quelle réponse il parlait. Ce qui était sur en revanche, était qu’il ne l’avait pas vu devenir un homme de 35 ans et encore moins qu’il n’avait plus rien à lui apprendre dans la spécialité que le roux avait choisi. Cette perspective n’était pas vraiment à son goût, mais il avait la sensation de devoir rester auprès de lui pour ne pas qu’il chute, sinon il était fort possible qu’il ne se relève plus ou bien était ce tout autre chose.

C'est en fouillant dans son bureau qui était anciennement celui de son père afin de passé celui-ci dans le sous-sol du manoir, que le roux découvrit, dissimuler dans un faux fond de la bibliothèque plusieurs livres de comptes, mais également des carnets d'adresse d'ont certaines étaient rayer, un autre carnet de contact, mais aussi un journal crypter qu'il mit plusieurs jours à déchiffrer. Apprenant la vérité sur le travail de ce père absent et mort alors qu'il était tout jeune. Il garda la totalité des documents les cacha dans son nouveau bureau. Hésitant à reprendre le travail familial, mais il reprit contact avec un certain Enak Ibn Halak qui était l'homme de main de son père, mais également de sa mère, c'était un Sheigs qui vivait à AGRILDHEIM et qui sans nouvelle des Percheval avait trouver travail comme garde boutique, mais il était tout à fait près à reprendre le travail au besoin. Melchior garda en tête cette information, mais ne donna aucune confirmation préférant rester pour le moment loin de se genre d'influence.

Depuis on le vois souvent muni d’un carnet et d’une trousse d’écriture, le chercheur parcourt les rues et prend le temps de discuter avec les populations pour noter leurs vies, leurs façon de parler, leurs pensés, dans le but de comparer d'annoter et d’étudier afin de créer un parallèle avec les anciens écrit. De plus il lui est arrivé d’aller jusqu’en Nodotheim ou il fit la rencontre délicate et agréable d’une fleur, qui était bien faite de corps, mais aussi d’esprit, loin de vouloir de ses délicats geste d’affections, ce que voulais Melchior était quelques informations sur sa vie, ce qu’elle connaissait. Le seul plaisir qu’ils prenaient était à la discussion et à la théorisation sur le future qui s’offrait lentement, péniblement devant chacun d’eux. Elle était une fleur qui risquait la maladie ou tout autre danger et lui un chercheur qui risquait de mourir d’ennuis et d’une quelconque maladie de Worran, comme elle le disait.

Comment as-tu découvert le fow ? Une charmante personne est venu faire un partenariat avec un forum sur lequel je suis
Que faire si tu disparais ? Si je viens à quitté le forum je pense que Melchior deviendra un PNJ pour le Staff
Disponibilités :Surtout présente le Week end