Séduction 3 ■■■□□
Il a appris la séduction une fois arriver au Gloria, principalement avec Astilbe et Coquelicot ( plus pour l'aspect physique avec Coquelicot). De plus c'est son travail actuellement

Discrétion 3 ■■■□□
Dans le Gloria, Calanthe est une vrais diva avec de nombreux costumes que lui a préparé Coquelicot, mais en dehors il peut être très discret selon les besoins de la mission que lui a confié Astilbe. Il connaît les rues par coeur de la ville et sais ou se cacher.


Art (danse) 1 ■□□□□
S'il ne s'agissait pas d'une compétence naturel chez lui, cela l'est devenu grâce au bon conseil d'une langue noire, qui lui a enseigné des bases de danse plus liée à la séduction.

Herboristerie 2 ■■□□□
Il a appris des bases en herboristerie grâce à la "médecin" qui l'a pris sous son ailes. Il connaît principalement l'utilisation et les répercussions de certain poison, anti poison et cataplasme, mais ne sais pas les fabriquer quand il faut faire autre chose que les infuser, les écraser ou les distiller.

Corps à corps 2 ■■□□□
Ce n'est pas un maître en la matière, mais il sait se défendre à main nu. Quoi de plus normal quand on traîne dans la rue ou quand on joue les gardes du corps auprés de certaines langues noires

Combat avec arme blanche (surin) 2 ■■□□□
Tout comme cité un peu plus haut, il a apprit à se battre sur le tas principalement pour défendre sa vie et défendre celle des autres. C'est principalement pour se défendre.

Vol 2 ■■□□□
Calanthe va apprendre sur le tas quand il travaillait encore pour sa mère, il va voler principalement des petit objets et principalement des bijoux.

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une broche ayant la forme d’une Calanthe
surin

Calanthe est un jeune homme taquin, il aime faire tourner en bourrique les personnes qu’il rencontre ou bien de les draguer. Il est d’un naturel très sociable et aime à discuter avec les autres surtout si c’est pour récolté des informations intéressantes. Souriant, il cherchera toujours à plaire aux autres en étant toujours sympathique avec eux. Mais sous ses traits d’adorable amant et ami, se cache un homme près à beaucoup pour faire souffrir les personnes qu’il n’apprécie pas et il y a pris goût à cette souffrance. Faire souffrir comme il a souffert, voilà un credo qui tourne dans sa tête sans vraiment pouvoir sortir au grand jour. Voilà pourquoi il prend un plaisir coupable quand on lui offre le droit de malmener des personnes ou bien de les empoisonnés. Il sait jouer la comédie et adore manipuler, mais pour le bien du Gloria, il tâche d’être sage et de ne rien faire sans l’aval du patron. Suite au événement qu’il a vécu Calanthe se contre fou du genre de ses partenaires et ne porte aucun intérêt aux relations charnel mise à par un moyen de récupérer des info et d’avoir sa « proie » dans un état de fragilité. Mentalement et physiquement il est capable d’encaisser beaucoup de chose sans broncher et rien ne vous dis qu’il ne gardera pas une petite pensé pour vous.

Calanthe est un homme d’un mètre quatre-vingt-neuf, avec une corpulence assez costaud pour qu’on évite de venir le chercher, celui-ci est barré de plusieurs cicatrices du à son travail avant le Gloria( une se trouvant au niveau de son pectoral gauche, trois autre au niveau de sa hanche et enfin plusieurs cicatrice de brûlure sur le dos.) droite, marque que l'on retrouve aussi sur son visage (une au niveau de son sourcil droit et la seconde parcourant sa pommette jusqu’à sa lèvre supérieur.) Une barbe bien taillée et travailler couvre le bas de son visage assombrissant un peu plus son visage, laissant le bleue glacial de ses yeux ressortir entre les mèches sombre de ses cheveux attachés en catogan. On notera aussi la bosse sur son nez qu’on lui avait cassé il y a de cela près de 2 ans. Sans oublier sa langue tatoué de noir.

Rêver voilà une chose qui n’existe pas pour le jeune homme, il en fait uniquement quand il dort c’est tout. C’est une chose de riche que de s'imaginer dans le future de voir plus loin que le présent.
Calanthe vivait avec sa mère qui aurait pu le perdre et perdre sa vie aussi à accoucher avec l’aide d’un de ses soit disant médecin. Il aurait peut être dû mourir ce jours là, mais la trinité en avait décidé autrement. De quoi il se souvenait de ses moments là de sa vie? Il n’a que des bribes de souvenir, les cris de sa mère, des scénes au travers la légère ouverture de la porte du placard. Des insultes qu’il prononça bien avant maman, le son des pièces que l’on échange. Rien d’autre, si la douleur des “caresses” de sa mère quand il osait la voir alors qu’elle travaillait ou bien quand il voulait un peu de son amour.

Il volait pour se nourrir ou bien ne mangeai pas, il n’avait pas vraiment le choix. Il se faisait tabasser quand il n’était pas assez discret ou bien pas assez rapide. C’était devenu une habitude de se faire battre pour un oui ou un non, que ce soit chez lui ou bien dans la rue. Amour et tendresse, était deux termes inconnus dans son esprit, enfin non il n’avait pas la bonne définition diront nous. L’amour était les coups que sa mère lui donnait pour son bien et tendresse avait le goût du fer et du sel. Cela allait avoir une toute autres saveur par la suite, quand il allait être assez grand pour travailler lui aussi. Il devait avoir treize ans… peut être quatorze, les années passe et se ressemble, il en a perdu le compte. Une femme était venu voir sa mère alors qu’elle était dans la rue son enfant assez loin d’elle, assis sur des caisses en bois, mais la fixant près à agir dès qu’elle aurait attiré un pigeon pour qu’il puisse lui voler quelques bien. La femme parla un moment avec la mère, Calanthe n'entendait pas ce qu’elles se disait, mais la femme donna de l’argent à sa mère et s’approcha de lui. Un doux sourire aux lèvres comme un croissant de lune. Cette nuit était la première de plusieurs nuits dans le lit d’inconnus. Les premières fois il avait pleurer, les autres étaient plus “facile” à vivre. Il ne gagnait rien de ses échanges, pas la moindre pieces. Il s’étonne encore d’avoir pu échapper aux maladies. Il était devenu dur face au violence et son corps d’homme naissait petit à petit. Un jour ou sa mère le disputa pour n’avoir rien pris chez un client, il se retourna violemment et la frappa au visage. Aussi surpris que sa mère de ce geste, il partit de la maison aussi vite que ses jambes le permettait. Se retrouvant sous la pluie, il ne savait pas où il allait, il savait juste qu’il partait. A bout de souffle, il s'arrêta, il ne savait pas vraiment ou il était dans la ville. Adosser au mur d’une maison, il reprenait son souffle quand il vit une femme passé sortir de la maison, elle était belle, bien plus belle que toute les femmes qu’il avait pu voir.

Elle avait besoin d’un trompe l’ennuie et lui avait besoin d’être héberger. C’était dans son “antre” qu’il vivait. Elle était aussi douce que folle et aussi créative que violente. Elle jouait avec lui, des jeux douloureux qu’il prenait pour un mal pour un bien. Elle était manipulatrice et lui portait un collier au ras de son cou, comme pourrait avoir certain animaux de compagnie. Étouffement, cire chaude coulant sur sa peau nu, le faire saigner, fouetter, il subissait tout, car au final ses douces mains blanche venait calmer la douleures et ses mots doux comblait son coeur désespérément vide. Il va vivre ainsi sept années auprès de la charmante doctoresse, qui trouva bon de lui enseigner quelques petites choses sur les poisons et les antidotes, alors qu’elle les testaient sur lui. La aussi il ignore comment il a fait pour survivre à cela, elle était surement très douée pour cela. sept années qu’il combla entre les combats de rue ou elle le menait, les voles et les expériences. Un soir ou le sommeil le fuyait une sombre idée lui passa par la tête. Il choisit deux fioles sur l'étagère de sa dame et partit. Il ne savait pas si elle serait là, mais il avait envie de la revoir une fois, juste une fois, une dernière fois. Il monta doucement les marches vers des souvenirs pénible.Il ouvrit un des flacons  avant de cogner à la porte, c’est elle qui ouvrit dans sa robe blanche délavé. Elle était surprise de le voir et leva la main pour le frappe. La joue prit une teinte rouge, mais il n'exprime rien rien, il lâcha un sourire  et la pris dans ses bras doucement et l’embrassa comme ses clients l’embrassaient mais lui boucha le nez pour la forcer à boire le contenue de sa bouche. Elle n’avait pas tout bu et recracha une bonne partie pestant contre lui jusqu’à ce que le sol se dérobe sous ses pieds et qu’elle tomba sur le sol. Il se pencha vers elle avalant l’antidote rapidement et la regarda. Il regarda sa vie s’échapper d’elle. Elle devait voir le monstre qu’elle avait engendré et modelé. Quand son dernier souffle sortit, il partit emportant l’argent qu’elle cachait et les quelques objets de valeur.

La vie continua jusqu’à ses vingt cinq ans, pour fêter leurs rencontré la dame proposa une nouvelle expérience, pour cela elle allait devoir lui injecter un produit qui arrêterait son coeur pendant un certain temps et elle le referait partir bien sur. Il aurait voulu lui dire oui, mais ses tripes lui donnait des signaux d’alerte. Il refusa, à plusieurs reprises, il pensait avoir gagner quand elle lui dit que cela n’était pas grave… Il comprit son erreur que trop tard, quand des hommes six peut être à force de lui frapper la tête il ne se souvient pas bien de ce qui c’est passé ce jour là. Dans un état plus que piteux on l’abandonna dans une ruelle, à travers ses yeux gonflé et ses oreilles qui sifflaient, il pu voir une sorte d’ange venir à lui dans la ruelle. Une brunette à la voix douce, peut être la dernière chose qu’il allait voir. Il perdit conscience suite à cela. Quand il revient à lui, il était dans une chambre. On l’avait soigné et à côté de lui assise sur une chaise, la brunette, elle dormait. Il apprit qu’elle était une poupée du Gloria, qu’elle l’avait ramassé et qu’il avait survécu. Il avait une dette envers elle, envers le Gloria. Il travailla donc chez eux, il ne servait qu'à faire quelques tâches pour le bien du Gloria le temps que son corps ne soit plus aussi dégoûtant. Puis il travailla au Gloria, au moins il savait faire le travail du moins c’est ce qu’il pensait, mais il allait devoir apprendre ce qu’était le plaisir charnel le vrais. C’est la brunette, son coquelicot qui se propose à la tâche. Elle avait deux ans de moins que lui, mais était douée et semblait connaitre les corps comme personne. Il finit par devenir une langue noire, après tout, il avait été ressuscité par une d’elle, ils étaient les seuls à l’accepter et ne pas juste l'utiliser. C’est elle qui avait choisi sa fleur, Calanthe. “Tu oubliera tout les nom qu’on t’as donné et tout ceux qu’on te donnera pour n’en garder qu’un. Calanthe, bel Orchidé des rues.”

Comment as-tu découvert le fow ? Une charmante personne est venu faire un partenariat avec un forum sur lequel je suis
Que faire si tu disparais ? Je pense qu'il va mourir ou si le Staff lui trouve une utilité je lui propose volontier
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