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Howahkan, ou l'absence de demie mesure.
Howahkan
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Informations généralesGroupe : SkaldeAge : 23Sexe : FemmeAnimal totem : Borr d'ErisMonnaie : 130 izrilsInventaire : - Trident
- Armure Commune
Bandeau : https://zupimages.net/up/20/20/lslw.jpg
HowahkanWerarn

Lun 22 Juil - 11:25
SKALDE
HOWAHKAN
« Imprègne toi de tout ce que ce monde a à t'offrir, et savoure le. Peines, souffrances et plaisirs, c'est ça qui prouve que tu es vivante. »

Prenom : Howahkan
Age : 23 ans
Sexe :
Spécialité : Werarn, fascinée par les machines ( mécanique )
Animal Totem : Börr d'Eris



     


Armes : Lance ■■■□□
La lance est son arme de prédilection, elle la maîtrise depuis des années.

Maîtrise des armes ■■□□□
Si la Lance est son arme de prédilection, elle a, comme tous les Skaldes, suivi un entraînement complet qui la permet de manipuler n'importe quelle arme et de s'en servir pour vaincre.

Corps à Corps ■■■□□
C'est une guerrière, le corps à corps est une compétence aussi indispensable que la maîtrise des armes.

Natation ■■□□□
Les Skaldes ne nagent pas beaucoup, les profondeurs sont trop inconnues pour qu'ils osent s'y approcher de trop près. Donc évidemment, Howahkan a appris à nager pour les affronter.

Zoologie ■■■□□
Les bêtes la fascinent, biologies, mécaniques, bio-mécaniques, elle les observe depuis qu'elle a su s'extirper des linges pour ses explorations.

Connaissances générales Survie ■■□□□
Le nécessaire vital pour un Skalde. Ca comprend entre autres l'herboristerie, l'astronomie, l'anatomie ou la médecine, etc.





- Armure Commune
- Arme de niveau 1 : Trident
- Elle a souvent des perles dans les cheveux, ainsi que d'autres divers ornoments



Il y a des Skaldes qui depuis toujours et en tout temps, savent se montrer discrets. Des ruvaak nés pour se fondre dans leur environnement, d'invisibles et efficaces traqueurs dotés de l'impressionnante capacité de toujours passer inaperçu, qu'il s'agisse de disparaître aux yeux d'une proie ou de l'un de leurs congénères. Howahkan ne fait clairement pas parti de ceux là.

Bébé déjà, ses parents soupçonnaient que la fillette serait une enfant difficile. Elle ne tenait pas encore sur ses deux pieds qu'elle parvenait à leur faire vivre un véritable enfer, à eux comme à finalement chacun des membres de la tribu qui dut la supporter. La gamine était intenable, qu'importait qu'elle ai le fessier protégé de linges ou le cul à l'air, il suffisait qu'on la lâche des yeux une seconde pour qu'elle s'échappe de la surveillance des plus vieux et parte à la découverte d'un village, parfois d'un territoire qui n'était clairement pas adapté à la survie du nouveau né trop curieux qu'elle était. De fait, il était plus que fréquent qu'un Skalde se voit dans l'obligation de stopper son office en la voyant déambuler parmi les fougères pour se précipiter à ses trousses, de sorte à de nouveau, la ramener aux malheureux qui se chargeaient de son éducation. L'enfant alors pleurait, hurlait, capricieuse et susceptible. Grandir n'aida rien, de savoir marcher assura à chacun de membres du clan de devoir lui porter une attention toute particulière car sinon la petite disparaissait du camp, c'était alors la panique assurée car tous s'inquiétaient pour la stupidité dont elle s'obstinait à faire preuve étant enfant.

Ces traits de caractère ci ne disparurent jamais, qu'elle fut créature potelée, baveuse et puante ou adolescente athlétique entraînée, au contraire d'ailleurs car ils ne firent que se renforcer avec l'âge. Howahkan n'écoutait personne, avide de sensations nouvelles, elle se montrait d'un courage inconsidérée, la seule tarée à ne pas hésiter une seconde à accomplir n'importe quel exploit que d'aucun jugerai insensé, voire tout à fait suicidaire. Un comportement que personne n'approuvait jamais, car il relevait d'une folie mortelle dans un monde aussi hostile, certains allaient jusqu'à dire que c'était irrespectueux de se montrer si inconscient, mais qu'importait les médisances, les reproches ou les conseils, il était impossible de raisonner cette guerrière droguée que l'adrénaline ne soulageait jamais très longtemps.

Outre ce comportement jugé des plus égoïste, qui d'ailleurs parfois relevait même d'un certain masochisme, la jeune femme disposait de nombre de qualités qui, malgré tout, faisait d'elle une skalde appréciée par son peuple. Au contraire d'autres qui se plaisaient à tirer la gueule ce nuit et jour, elle même ne savait faire que sourire, dotée d'un entrain ainsi que d'une bonne humeur à toutes épreuves. Sa mère disait d'elle qu'elle était une boule d'énergie inépuisable, pétillante et intenable, un rayon de soleil qui ne savait faire qu'illuminer le quotidien d'autrui. Trop gentille, trop généreuse, trop extrême sans doute, elle ne savait pas faire quoi que ce soit dans la demi mesure, dès lors qu'elle avait une idée en tête, la brune faisait tout pour arriver à ses fins. Une détermination qui la rendait efficace et fiable, deux qualités qui certainement compensaient son irresponsabilité suicidaire.





Les Skaldes jamais ne considérèrent les femmes comme moins valeureuses que leurs homologues masculins. Chacune d'elle pouvait exercer la fonction qu'elle souhaitait dès lors qu'elle eût prouvé qu'elle en était capable. Tout n'était finalement qu'une histoire de compétences, on s'attardait uniquement sur les faits, et non pas l'identité même d'un être, son sexe ou son âge.
Howkahkan alors n'eu jamais le moindre mal à se faire accepter au sein des werarn du clan.

Son corps, elle l'avait forgé pour pouvoir le manipuler à sa guise, elle l'avait sculpté de milliers d'heures passées à s'entraîner, elle l'avait travaillé et épuisé comme l'on travaillerait une fourrure pour pouvoir en faire une peau. Patience et acharnement avaient permis à ses muscles d'imprimer chacun des mouvements nécessaires à la bonne pratique des arts du combat, ses sens s'étaient affûtés pour lui permettre de percevoir chacune des initiative de son ennemi, chacun des détails étrangers qui puisse l'alerter. Son enveloppe était prête, il ne lui manquait plus que l'expérience, car son manque de pratique, comme pour finalement chacun des jeunes, semblait l'handicaper.

La combattante se présentait alors ainsi, comme une jeune femme athlétique, haute de plus d'un mètre soixante quinze. Elle portait les cheveux longs, une crinière épaisse de boucles brunes qui tombait dans son dos, caressait ses omoplates, dissimulait souvent le tatouage qui décorait sa peau. Sur ses épaules, le long de sa colonne puis ornant ses reins demeurait l'empreinte définitive d'une encre naturelle, d'un ébène abyssal qui, la nuit s'étoffait de pigments ocres et ivoire.
Son visage demeurait fin, enrichi de deux pierres azurées qui, en tout temps, se montraient taquines et enjouées. Plus bas, sur ses lèvres reposait toujours un sourire sincère. Ses joues, à force d'être sollicitées, avaient chacune imprimées une fossette propre aux bons vivants. Ses traits étaient doux, expressifs, il semblait souvent impensable d'imaginer Howahkan capable d'exprimer sa colère ou sa rancune, elle le pouvait toutefois, son faciès pouvait sans mal se durcir, ses sourcils se froncer et ses yeux perdre de leur amusement. Elle était même capable de se montrer menaçante, elle gardait cependant cette expression pour le combat.
Si d'aucuns considérait la skalde comme une belle enfant, elle demeurait imparfaite. Il était rare que la jeune femme reste propre très longtemps, sa chair elle-même semblait ne jamais se lasser d'exposer bleus et hématomes, ceux là qu'elle se faisait régulièrement à force d'inconsidération. Plutôt amusée par la douleur car celle-ci conséquence d'une satisfaction indubitable à prendre des initiatives suicidaires, elle prenait un plaisir presque malsain à découvrir chacune des plaies qu'elle pouvait se faire.





Comme précisé plus tôt, Howahkan a toujours été une enfant difficile. Une gamine turbulente, incapable de tenir en place, aussi casse cou que casse-couilles selon certains. Elle a toujours été gentille, d'une générosité intarissable, mais sa bêtise n'a eu de cesse de lui attirer reproches et réprimandes.

Sa jeunesse fut marquée par d'incessantes et répétitives remontrances, par l'inquiétude sincère de deux parents qu'une autorité naturelle ne suffisait pas pour convaincre la petite de se tenir en place, ne serait-ce qu'à se montrer prudente. Dans une région où le taux de mortalité prématuré s'élevait à plus d'un enfant sur deux, il semblait évident qu'elle ne survivrait pas bien longtemps, qu'elle serait même responsable de son propre trépas.
Ses géniteurs, six ans durant, angoissèrent à l'idée de cette éventualité. A bout, ils finirent pas proposer une solution qui fut approuvée par un village entier qui ne supportait plus de devoir lui courir après.

Howahkan ne pouvait être enfermée, mise sous cloche, les aînés décidèrent alors de lui faire commencer un entrainement précoce qui se devait tout autant de la canaliser que de la former. Cette initiative fonctionna à peine, après sa mère et son père, sa soeur aînée, et chacun des adultes qui eu un jour à la surveiller, ses formateurs s'acharnèrent à lui inculquer nombre de valeurs et de règles qu'elle s'obstinait à mépriser. Ils durent se montrer patients, si elle excellait dans tout ce qui demandait une dépense physique, le reste la rebutait, de fait ne prenait-elle même pas le temps de chercher à s'y intéresser, elle désobéissait, puis fuyait de nouveau.
Sa formation débuta très tôt, et elle fut terriblement longue. Elle se montrait terriblement têtue, bien trop sûre d'elle, peu disciplinée. Mettre au tapis chacun de ses adversaires ne suffisait pas à faire d'elle une Skalde accomplie, et ce constat pourtant très simple ne la marqua qu'une fois ses dix neuf ans atteints, alors qu'autour d'elle, quatre générations de jeunes déjà avaient obtenu leur animal totem. D'avoir pris tant de retard la poussa enfin à se remettre en cause, de se fixer un objectif la motiva à supporter puis à appliquer des théories qui l'ennuyaient, à changer de comportement. L'adolescente se fit plus attentive, plus réfléchie et plus méthodique. Elle demeurait elle-même toutefois, au terme de son rite de passage on lui désigna comme compagnon le Börr d'Eris, ce gros animal que de trop nombreux jeunes sous estimait, tout à fait lunatique, assez stupide pour se cogner la tête contre un tronc et en ressortir ravi, une créature marquée par la dualité, chose qui finalement, convenait tout à fait à cette femme qui dut apprendre à concilier de bien nombreuses choses. Autre point tout à fait pertinent, l'animal bio-mécanique traduisait d'une manière tout à fait appropriée l'attrait naturel que depuis toujours Howahkan avait pour les bêtes faites de métal, et pour l'eau, car s'il y avait une chose qu'elle aimait plus que tout, plus que même que de faire l'idiote dans les bois, c'était de pouvoir se baigner.






HRP

« Ferme les yeux. Les vois-tu, les lucioles ? »


Comment as-tu découvert le fow ? C'est mon bébé Howahkan, ou l'absence de demie mesure. 2113547128

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Tahn Celhán
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